Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran 

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran _ Eric-Emmanuel Schmitt 

Quatrième de couverture : « Paris, années 1960. Pour échapper à une famille sans amour, Momo, un garçon juif de quatorze ans, devient l’ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim n’est pas arabe, la rue Bleue n’est pas bleue, et la vie ordinaire peut-être pas si ordinaire… » 
 

Chronique : 

Justesse, délicatesse et poésie ! 

Quels mots employer pour parler de ce livre avec la bonne l’intensité ? Cette lecture est un coup de foudre. Un choc délicieux, instantané, et qui laisse un souvenir impérissable. Je l’ai découvert totalement par hasard, recommandé il y a quelques années par ma mère, que je ne remercierai jamais assez pour cette superbe découverte. Je viens de le relire pour mieux le chroniquer, et l’effet fut le même qu’à la première lecture. 

C’est avec plaisir que j’ai retrouvé les personnages de Momo et de Monsieur Ibrahim. Un jeune juif abandonné par sa famille, en quête d’identité. Et un vieil épicier arabe plein de sagesse et de malice. Entre ces deux opposés naît une relation unique et émouvante. 

Ce petit livre est une claque ! Une leçon de vie. 

Il aborde avec douceur et philosophie les thèmes du bonheur, de la religion, de la famille et de la tolérance. 

À lire absolument. 

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran est la démonstration parfaite de l’immense talent d’ Eric-Emmanuel Schmitt. 

 
— Le plus : un livre parfaitement dosé. Pas un mot ne manque. Pas un mot de superflu… 

 
Mon passage choisi : parce qu’on y retrouve l’essentiel : la complicité entre les deux personnages et la malice et la délicieuse philosophie de Monsieur Ibrahim.