Mon ressenti :
Résumé de l'éditeur :
Dans ce monde des confins, une nuit, une fracture de la banquise sépare une jeune femme inuit de sa famille. Uqsuralik se voit livrée à elle-même, plongée dans la pénombre et le froid polaire. Elle n’a d’autre solution pour survivre que d’avancer, trouver un refuge. Commence ainsi pour elle, dans des conditions extrêmes, le chemin d’une quête qui, au-delà des vastitudes de l’espace arctique, va lui révéler son monde intérieur.
Mon avis :
Il avait tout pour me plaire. Dans son bel écrin météore, De pierre et d’os était plein de promesses, nourries par les nombreux avis de lecteurs conquis.
Les errances d’une jeune femme sur la banquise. Un voyage initiatique au souffle du vent, au son de la glace qui craque, aux chants et complaintes des Hommes et des esprits.
Le monde inuit, ses croyances et superstitions et la réalité douce amère d’une terre où l’on ne sait plus trop parfois qui de l’homme ou de la nature est le plus hostile, ni de qui, de l’homme ou de la nature, vient le salut.
Il avait tout pour me plaire pourtant j’ai eu du mal à terminer ma lecture, et quelques jours après, comme le vent sur la neige efface les traces, je n’en retiens plus quand chose. Un mirage, un murmure, quelques sensations…
Je n’arrive pas à m’expliquer pourquoi. Ce n’est pas grave, il laisse sa trace chez d’autres lecteurs séduits. Et tu en fais peut-être partie.
219 pages
Plus d’infos sur De pierre et d’os ?
– Rendez-vous sur le site de l’éditeur, Le Tripode.