Game au vert _ Damian & Esteban Hernandez

Mon ressenti :
4/5

Quatrième de couv' :

Préparez-vous à la grande aventure que vous offre la nature…
Daniel passe sa vie collé à ses jeux vidéo. Alors quand il doit passer quinze jours chez ses grands-parents, à la campagne, sans écran et, pire, sans connexion à un réseau, il a l’impression d’être en enfer. Et ce ne sont pas les jeux de société d’un autre temps qui l’aideront à moins s’ennuyer. Heureusement, son grand-père est un homme plein de ressources. Il se met en tête d’initier le jeune citadin aux petits plaisirs de la nature : faire des ricochets, cueillir des fruits, se baigner dans la rivière… Et quand une mystérieuse femme-louve apparaît pour confier une succession de missions à Daniel, les jeux vidéo paraissent vite bien fades à côté des aventures de « la vraie vie ».

Mon avis :

Dans un futur visiblement proche où la technologie a fini de faire son chemin et s’est plus encore installée dans nos vies, le petit Daniel va devoir passer deux semaines de vacances chez ses grands-parents.

Loin de la ville, des écrans, consoles et autres moyens de discuter avec les copains. En périphérie de tout, dans une petite maison en pleine forêt où les seuls jeux que l’on trouve sont faits de plateaux, de pions, de cartes et de dés. Bref, le mode hors ligne est enclenché, et Daniel redoute de ne pas tenir le coup.

Pourtant, il s’apprête à passer un été inoubliable ! La Louve, un étrange personnage qu’on dirait tout droit sorti d’un jeu vidéo, frappe un jour à la porte et lui confie une mission. Accompagné de sa nouvelle amie Selva, il va se lancer dans une grande aventure. 
Dans cet album tendre et drôle, @damidante et @estebanusted nous ramènent à l’essentiel. En nourrissant l’imagination foisonnante de l’enfance, ils rappellent à chacun que la nature réserve mille et une belles surprises et qu’avec elle l’ennui n’est pas permis. 

J’ai beaucoup aimé cette bande dessinée. Si elle s’adresse en premier lieu à un public jeunesse, elle m’a permis de réveiller de jolis souvenirs d’enfance, et toutes ces heures passées dehors, dans la montagne, à s’inventer d’incroyables histoires.
Côté graphique, j’ai trouvé la patte originale, les couleurs sont vives, les contours marqués attirent l’œil. C’est en somme, un bien joli album. 

80 pages

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– Rendez-vous sur le site de l’éditeur, Bamboo Editions.


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